Enfin de retour chez moi

Gabriel était rentrai chez lui, il enleva ses chaussures pour mettre ses pantoufles, il déposa son sac sur la table a manger et alla dans sa chambre pour se changer. Il enlevait donc son uniforme pour pouvoir mettre un jean de couleur marine et une chemise blanche qui laissa déboutonner. Passant devant l'une des fenêtre de son studio, il contempla la lune.

_ Elle est immense se soir ....!! bizarre...il y a une tâche rouge dessus.
* Léon qu'est-ce que sa veux dire?*

Il détourna son regard pour se diriger vers la cuisine, même si c'est un vampire, il garde ses attribut humain même s'il doit privilégier la soif (sang animal) que la nourriture...c'était le seul comme ça. Je me répète je sais ^^'.
Donc il se mijota un petit plat, regardant se qu'il devait faire pour demain, il regarda aussi les ouvrages qu'il devait lire: William Shakespeare, Baudelaire, victor hugo et....tien du jules vernes? Étrange pour le dernier mais bon, il aimer les jules vernes donc sa ne le déranger pas, surtout voyage au centre de la terre et le tour du monde en 80 jours. Il les avait plus plusieurs fois.

Il se mit dans la salle a manger une fois le plat fait et fit ses devoirs.

Sora revenait donc du lycée par le chemin des écoliers comme on dit. Négligemment il tenait son cartable par derrière son épaule. Sur le trajet il suivait Gabriel, se demandant :
*Mais jusqu’à quand suivront nous le même chemin ?*

Sous un grand cerisier en fleur dans un parc Sora resta un temps appuyé contre son tronc et il ferma un instant les yeux. Un pétale tomba sur sa joue. Il ressortit de son endormissement, il distinguait toujours Gabriel de loin. Il ne s’était donc assoupi que quelques minutes. Il reprit son chemin. Gabriel ne s’était pas retourné, ne l’avait pas vu mais n’avait pas non plus changé de chemin. Sora était intrigué :
*Bon sang mais ce n’est pas vrai, tu va voir que l’on va habiter la même résidance.*

A mesure que le professeur marchait son regard s’agrandissait de stupéfaction. Dernier coin de rue, il traversait le dernier carrefour, ouvrait la porte du hall d’un grand bâtiment blanc de craie et avec des balcons en terrasse garnis de diverses végétations. Sora resta interdit.
« Non ce n’est pas vrai ! »

Sora sortit de sa poche la clef du hall, car ce n’était autre que son propre immeuble. Résidence du parc, 4° étage, porte A, voilà son adresse complète. Le professeur dans le hall se renseigna auprès des boîtes à lettre de l’appartement de Gabriel. 3ème étage, porte C.

Sora monta marche à marche les escaliers menant à son appartement. En même temps qu’il montait, il restait mal à l’aise des termes dans lesquels il avait quitté Gabriel. Il inspira profondément et s’arrêta au troisième étage et lut le nom sur la porte C – Uesugi.

Frappant quatre coups feutré à la porte en bois, Sora s’excusa :
« Gabriel, c’est ton prof de Français. Je tenais à m’excuser pour ma conduite de toute à l’heure. »

Silence.

Gabriel mangeait et faisait ses devoir de français, vu qu'il avait eu que ce cour. Il avait allumer la télévision pour entendre les nouvelles aux informations du soir et il ne c'est pas tromper un meurtre avait eu lieu, une jeune fille habillé très osée quand même.
* On ne se balade pas dans cette tenue le soir, surtout avec tout ce qui arrive maintenant. - -'*

relevant la tête, il inspectait la rue qui se trouvait derrière le journaliste, des policiers qui se faisait interroger, le corps est caché par un drap blanc, du sang était par terre et sur le drap...Heureusement qu'il n'était pas là-bas, l'odeur du sang l'aurai envahit et en parlant de sa son nouveau ami n'était pas là...tan mieux aussi, vu qu'il a peur du sang.

Gabriel continuait ses devoirs, laissant la télè allumée, quand quelqu'un vient taper a la porte, le jeune garçon attentait un petit peu, regardant la porte...une fois se fit retentir....c'était celle de Sora, le professeur de français. Il venait pour s'excuser ? Est-ce qu'il allait bien, pour venir présentait des excuse à un élève ? Le jeune garçon avait quand même de bonne manière et alla ouvrir au professeur, cependant il gardait le cadenas ferma qui le relier a une chaîne. Il passait sa tête contre l'entrebâillement de la porte.
_ pourquoi vous vous s'excusez ?

Sora ayant découvert que Gabriel habitait dans la même résidence que lui, La Résidence du Parc, avait décidé tandis qu’il montait marche à marche les escaliers menant au quatrième étage de s’arrêter un instant un niveau en dessous et de frapper à la porte de son étudiant afin de s’excuser de l’avoir ainsi retenu pour des broutilles. D’autant que Gabriel avait semble-t-il mal pris la chose. Longtemps le jeune professeur était resté devant la porte close, indécis, ne sachant que faire.
*Ne va-t-il pas encore plus mal prendre cette intrusion. Est-ce normal qu’un professeur vienne s’excuser de sa conduite envers un étudiant ?*

Sora secoua ses épis bruns, s’apprêtant à repartir chez lui, puis se ravisa.
*Cependant, moi je ne supporte pas de rester sur cette erreur avec lui, je ne me sens pas bien.*

Finalement il inspira profondément, il pouvait entendre la télévision égrainer sa mélopée, la speakerine des informations rabâcher ce qui ne cessait d’aller de travers dans le monde. Sora frappa quatre coups feutrés, comme les premières note de la symphonie de Ludwig van Beethoven. Professeur de français, Sora aimait aussi passionnément la musique classique. Beethoven, mais aussi Mozart, mais il avait surtout un faible pour Bach…
Silence.
Sora déclina alors ses intensions, devinant qu’à cette heure-ci l’étudiant n’attendait sans doute pas de visite :
« Gabriel, c’est ton prof de Français. Je tenais à m’excuser pour ma conduite de toute à l’heure. »

Un instant plus tard, la porte s’entrebâilla, pas plus, et le visage de Gabriel s’encadra entre la porte et le chambranle.
« Pourquoi vous vous excusez ? »

L’étudiant manifestement lui bâtait froid. Plutôt compréhensible. Le professeur titillait son cartable, cherchant ses mots, il était impulsif et n’avait pas prévu ce qu’il allait dire et encore moins à cette question. Nerveusement il chercha à rassembler ses idées et ordonner ses mots :
« J’ai du te paraitre odieux en classe. D’autant que malgré ton absence d’apparence, tu suivais mes discours. Je venais te dire simplement que mon attitude était démesurée et te priais de bien vouloir oublier cette maladresse. Voilà. »

Le professeur s’en retournait vers l’escalier quand il trébucha sur une dalle mal jointe et alla terminer sa course dans un grand miroir du couloir en face de la porte de l’étudiant et se releva le regard voilé de sang, les joues n’étaient plus que désolation. La glace en morceau dans ses cheveux. Vision de la Cassiopée aux cheveux de cristal mais maculé de sang. Le regard piteux.